La persécution systématique des Ouïghours par le gouvernement chinois continue depuis des mois. La volonté d’anéantissement culturel de cette minorité, accomplie par l’enfermement de centaines de milliers de personnes dans des camps de « rééducation » et la séparation forcée des enfants, placés derrière 10 000 volts de clôture électrique, devraient indigner.
Mais c’est encore une fois le silence assourdissant de la communauté internationale qui résonne autour de ce qui devrait pourtant être son essence : l’action résolue pour le respect des droits humains et des textes internationaux.